Certamen Virtutis
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Dans le duché de Basse-Salte, complotez, tramez et trahissez pour obtenir le pouvoir... Qui sera le prochain Duc?
 
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 [Validée] Ysalia Telvien

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Ysalia
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Ysalia


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MessageSujet: [Validée] Ysalia Telvien   [Validée] Ysalia Telvien I_icon_minitimeMar 2 Aoû - 17:35

Fiche de présentation

Prénom & Nom : Ysalia Telvien
Age : 24 ans
Métier : Médecin


Histoire : Voila vingt-quatre printemps que l’enfant vint au monde. Jadis, elle faisait la fierté de sa famille, aujourd’hui, elle n’est plus que le déserteur qui hante ses proches. Oublions un peu le présent et plongeons-nous donc dans le passé…

Elean n’était pas bien née mais elle était belle, aussi gracile qu’une rose un matin de rosée. De sa bouche perlaient d’affriolants mots qui enchantaient le cœur de nombreux damoiseaux. Si elle n’était guère douée pour les sciences, elle se révélait bonne pour ses parents car astucieuse pour tenir une maison et connaissait les rudiments de la vie agricole. Toutes ces raisons firent qu’elle fut promise à un prometteur paysan qui lui offrit une belle vie et, par la même occasion, à ses parents aussi. S’ils ne s’aimaient d’un amour brûlant, ils se respectaient pourtant passionnément. Trois enfants naquirent de leur union, Adam, Elios et la petite dernière, Ysalia. Ils étaient les petites merveilles de leurs parents et ceux-ci les choyèrent comme il n’est pas imaginable de gâter sa progéniture. Pourtant, ils ne furent pas mal éduqués, ils étaient bons et vaillants. La dernière s’entendait bien avec ses frères bien que sa mère la prit souvent à ses côtés pour lui apprendre son futur rôle de femme émérite, comme sa grand-mère l’avait fait avec Elean auparavant, partageant son temps entre les terres qu’ils possédaient au Duché de Faenum et les leçons de sa mère. Elle sut très vite concocter quelques fabuleux plats, repriser des vêtements troués et laver ces derniers pour qu’ils soient assez décents pour que ses frères les portent lors de grandes occasions. Les ennuis commencèrent dès lors où elle s’approcha du marché, le marché d’Angnem. Toute la famille s’y rendait une fois par semaine pour vendre leurs produits contre quelques sous, hélas, s’ils ne l’avaient laissé vagabonder à travers les étales sans surveillance…Ce n’était pas une enfant à problème mais une enfant très instinctive qui se passionnait pour peu qu’elle en voyait un bout. C’est ce qui arriva ce fameux mercredi.

Son stand n’était pas coutumier, ce n’était pas des produits agricoles qui trônaient sur son paravent, d’ailleurs, il n’y avait pas de paravent, juste des chaises et quelques pancartes signalant ses attributs et compétences. Car oui, Alacius était médecin. Pas un de ceux qui croient que le monde leur appartient car il a soulagé le mal de gorge d’un fortuné noble mais un de ceux qui a choisi de troquer ses savoirs contre le bon cœur des honnêtes gens. Il n’était guère très riche mais sa vie de vagabond itinérant lui correspondait à merveille. Alors, intriguée par les remerciements et les étranges pratiques qu’il opérait, Ysalia eut le malheur de s’approcher. Lorsque la personne dont il s’occupait ressortir, elle avait le bras pansé, sa plaie était désinfectée et son sourire en disant long. Alacius l’avait soignée. Il ne dit point mot à l’adolescente qui allait sur ses douze années mais elle revint chaque mercredi. Au bout d’un mois, il l’invita à toucher à ses instruments, le mois d’après, il lui apprenait quelques rudiments et le mois suivant, elle pansait des blessures et désinfectait des plaies, retirait des échardes aussi grosses que son index et aidait les plus affaiblis à se ressourcer en leur donnant quelques breuvages qu’avait concocté Alacius grâce à ses vastes connaissances en plantes médicinales. Elle ne restait assez longtemps car, ses parents, trop occupés à gérer leurs affaires n’avaient que faire de leurs enfants dans ces instants-là. Ils pensaient leur accorder du temps libre comme chaque être a besoin pour se construire. Les jours passèrent lorsqu’elle éprouva un jour le désir de soigner l’entaille que s’était fait son frère, on la pria de regagner sa chambre et ne point proférer de pareilles âneries. Une demie heure après, sa mère réapparut en s’excusant et crut bon de lui montrer quelques points de croix pour lui redonner le sourire, un sourire factice que lui offrit sa fille ce soir-là. Alors, de petits animaux, rescapés de la vie grâce à ses soins furent ses premiers cobayes. Elle réussit même à guérir un chat à l’allure blafarde et au museau mal en point.

Alacius qui faisait de son métier de médecin sa raison de voyager décida de s’établir quelques temps dans le village où résidait Ysalia car une virulente maladie avait sévi quelques jours auparavant. Elle n’avait guère emporté beaucoup de vies mais la plaie restait assez grave pour aliter une quinzaine de personnes, ainsi, il s’improvisa un campement où il reçut ses patients pour leur prodiguer les soins qu’il pouvait. Dès lors, la jeune fille tenta de s’éclipser de ses corvées hebdomadaires à chaque fois qu’elle le put pour l’assister. Ce petit jeu n’échappa point à ses parents qui la réprimandèrent, sa mère lui offrit même en récompense une gifle dont elle garda la trace plusieurs heures durant. De là, ils l’enfermèrent à la maison et lui interdirent de revoir ce mécréant pensant qu’il profitait d’elle d’étranges façons. Ysalia n’avait jamais eu de problèmes avec l’autorité. Si on la réprimandait, c’était plutôt pour son laxisme et sa paresse des débuts de matinées. Cependant, cette fois-ci, ce fut bien différent. Elle ne comprenait pas et lorsqu’Ysalia ne comprend pas quelque chose, elle se braque, dans tous les sens du terme. Son sourire habituel disparut bien vite de son visage, ses quotidiennes tâches ménagères furent oubliées et, si on la priva de manger pour son bien et qu’elle retienne une leçon dont seule sa mère avait le secret, elle ne céda point. Si à l’époque elle n’avait que dix-sept ans, elle n’était pas cette fille délicate et adorablement naïve que pensaient ses parents. Ils ne comprenaient rien, pire, ils se complaisaient dans des mensonges et des vérités toutes façonnées qu’elle ne digérait pas. Alacius n’était pas mauvais, il était juste vivant, chose que semblait avoir oublié de faire sa propre famille. La terre, le repas, le linge, s’occuper des enfants, ranger…Non, décidément, ça ne lui correspondait plus. Alors, tandis qu’elle se renfermait peu à peu sur elle-même chaque jour, on annonça une nouvelle qui ravit le cœur de sa chère et tendre empoisonneuse de mère, le fils de leurs voisins, possédant un terrain cinq fois supérieur au leur, viendrait rendre visite à Ysalia en cette fin d’après-midi. Si on joua la carte du chantage pour l’obliger à sortir de sa chambre et s’habiller convenablement, non, elle ne dénouerait pas ses cheveux et non elle ne mettrait pas cet horrible pendentif cadeau de leur grand-mère représentant un pauvre cœur entouré de colombes. L’entretien se passa effrontément bien tant et si bien même que les jeunes gens eurent la bénédiction de leurs parents pour se revoir. L’épidémie qui avait touché le village s’envola avec cette nouvelle et Alacius avec. La jeune femme vit alors tous ses espoirs de partir tomber en fumée lorsque les évènements tournèrent enfin en sa faveur.

Son pseudo fiancé ne se révéla point si déplaisant, il avait une certaine conversation et s’intéressait aux envies de la belle. Cependant, l’arrivée en ville d’acrobates ambulants détourna bien vite le regard vague de cette dernière du bellâtre qui voulait la conquérir. Elle n’avait jamais approuvé qu’on dicte ses choix mais elle fut bien obligée d’obéir à ses parents sans quoi, son toit ne serait plus et qu’adviendrait-il d’elle ? Car oui, elle peut paraître téméraire mais la peur de se retrouver sans rien et ne pas manger à sa faim la tiraillait assez pour qu’elle ne passe le pas de sa porte en guise de fatidique au revoir. Alors qu’elle se baladait en compagnie de l’homme qui devrait partager sa vie, un incident survint. Ils passaient près du campement des artistes lorsqu’un cri se fit entendre, là, devant eux, l’un d’entre eux venait de se blesser avec ce qui ressemblait à un accessoire de scène. Ysalia lâcha alors le bras – qu’elle avait accepté à contrecœur de tenir – du savant Ambroise pour se précipiter au chevet du blessé. Offusqué, ce dernier n’en fit rien mais ne lâcha guère sa promise des yeux par peur d’un possible vol. La demoiselle fit étendre le patient et de ses mains devenues expertes se réjouit de pratiquer enfin sur un réel être humain. Elle ne fit point grand-chose mais cela suffit à lui redonner son sourire jadis perdu. Elle revint voir tous les jours ces artistes qu’elle considéra bientôt comme sa nouvelle famille, car ces derniers l’écoutaient, lui offraient une épaule amicale dont elle avait oublié jusqu’à l’existence. Elle supplia Ambroise de prétexter être en sa présence alors qu’elle côtoyait ses êtres qu’il qualifiait de « bandits de grands chemins » et bien qu’il restait en leur compagnie, il surveillait surtout la donzelle. Ils ne restèrent que quelques mois en ville car le succès de leur spectacle ne leur permit guère de résider ici à temps complet mais, avant de partir, la doyenne si l’on pouvait la qualifier ainsi de la troupe murmura quelques brèves paroles au creux de l’oreille d’Ysalia.

« Tu n’es pas heureuse ici, nous savons très bien toi comme moi ce qui t’attend ici. Tu n’es pas faite pour ça. Je ne dis pas qu’ils ne sont pas gentils mais, si ma fille était encore de ce monde, je ne l’aurai jamais brimé d’avoir des rêves. Tu me la rappelles tant Ysalia, tu n’es pas malheureuse mais tu ne seras jamais heureuse. Je t’offre un foyer pour le moment, si tu le désires. Je ne promets pas que l’endroit où nous t’emmènerons sera meilleur que celui-ci mais au moins, tu auras peut-être plus de chances de t’épanouir. Qu’en dis-tu ? »

Pour toute réponse, l’obstinée se lova dans les bras de cette bienfaitrice sans trop savoir ce qui l’attendait. Le soir-même, elle s’était éclipsée de la maison lorsque celle-ci conversait avec Morphée pour rejoindre son nouveau foyer. Ils traversèrent plusieurs villages mais la dernière étape que partagea Ysalia avec eux fut le duché de Basse-Salte. Pourquoi ? Tout simplement car Alacius avait dit résider là dans le temps et peut-être qu’elle pourrait le retrouver. Ce ne fut point facile, il arriva qu’elle ne trouve d’endroits ou dormir et que ses maigres économies offertes par la troupe ne suffisent pas. Pourtant, Aldor, le bretteur du groupe l’avait un peu initié au maniement des armes et sans être une experte, elle savait défendre sa frêle vie si danger il y avait. Elle passa quelques semaines à la recherche du médecin mais finalement, alors qu’elle écumait pour la énième fois le marché, elle aperçut sa présence. Dès lors, elle ne le quitta plus. Il était comme son grand-père comme son père et même naïvement, elle lui pardonna son abandon, le premier mais guère le second bien des années plus tard. Elle passa trois années à ses côtés où il la forma, lui offrit un toit et s’occupa d’elle comme de son enfant. Le décor qu’elle parcourait désormais était tout à fait différent de celui de Faenum, ce n’était plus des terres à perte de vue mais un étrange monde auquel elle se fit peu à peu. Elle n’était plus la petite créature naïve et enthousiaste d’antan. Elle ne répondait plus à tous les désirs de ses pairs mais traçait son propre chemin. Et si son précepteur fut emporté par une maladie qui le rongeait depuis plusieurs années déjà, elle ne revint jamais sur ses pas. Cependant, sa mort porta un immense coup à son sens des choses et sa perception de la vie. Le profit passa parfois avant son devoir de médecin, son ambition peut-être au détriment de quelques malheureux et sa rudesse à l’épreuve de son ancienne bonne humeur. Résidant à Salte, il lui arriva de se déplacer, comme le fit à l’époque son ancien ami mais jamais bien loin de la grande ville. Si elle n’arrive à s’identifier au duché, elle ne se sentirait pas plus chez elle ailleurs, peut-être que ce sont les gens qui font ce que vous faites et non le lieu où vous posez vos valises. Quoi qu’il en soit, tandis que la lutte fait rage pour obtenir le titre de Duc, elle vaque à ses propres occupations retrouvant ses éclats de rire parfois, en compagnie des artistes qu’elle côtoya jadis. Pourtant, du haut de ses vingt-quatre ans, le duché de Basse-Salte lui a appris beaucoup notamment au niveau humain, social mais également des trahisons, de la perfidie humaine et des couteaux imaginaires que l'on vous lacère dans le dos. Aujourd'hui, si un Alacius recroise sa route ou même un ancien artiste comme ceux de son village, elle ne s'y attachera plus. Cela fait trop mal et l'égoïsme fait désormais partit de ses humbles amis.

Physique : Tout le monde se ressemble, c’est évident. Les individus, mis bout à bout deviennent parfois rapidement similaires. Cependant, heureusement qu’ils ne sont pas tous façonnés de la même façon, comment ferions-nous alors ? Ces différences sont peut-être la clef du succès de certains et du dédain d’autres, allez savoir. Si notre demoiselle paraîtrait banale parmi plusieurs, elle se démarque face à peu. S’il ne fallait s’attarder que sur son allure, on la qualifierait de sauvage, en retrait des us et coutumes qui donnent aux êtres le droit d’être hautain et furtif. Qualifiée de calme et posée, elle reste impassible en toute circonstance. Pourtant, il reste ce petit air vif qui agace vite sur son visage. Celui-ci, aux traits délicats se veut légèrement allongé. D’éclatantes boucles auburn encadrent son minois, cela ne lui sied guère, car ainsi, le teint clair de sa peau n’en est que plus voyant. Ses lèvres, à l’inverse, sont teintées d’une vive couleur tandis que ses yeux n’expriment jamais ce que l’on cherche. En effet, si son visage reste expressif, son regard lui est imprenable. Ses oreilles, qu’elle trouve décemment trop longues sont habillées par de fines boucles qui semblent, selon la lady, raccourcir celles-ci. Si ses orbes azur l’emplissent de joie, son nez reste trop commun à son goût.

Attardons-nous désormais sur d’autres détails. De cliquetants bracelets ornent ses poignets et chevilles. Bizarrerie, aucun collier n’hante son cou. Ces babioles, car elles en sont l’essence même sont de frêles trésor à son sens. D’une taille relativement normale, sa silhouette élancée lui confère quelques facilités notamment en matière d’agilité. Si elle sait se mouvoir avec aisance, son pas traîne souvent le sol. Ses pieds, bien trop petits à ses dires remontent légèrement dans son estime lorsqu’elle les compare à ses mains d’une douceur parfaite. Par contre, si vous vous cantonnez à l’état de sa peau, de nombreuses blessures, griffures et autres petites coupures ornent celle-ci. En effet, peu avenante envers la nature, elle a le don de souvent s’estropier sans le vouloir. En tant que femme, elle possède les attributs qui les représentent. Si elle appréciait se pomponner plus jeune, aucune marque de poudre ou autre fanfreluche ne rentrera en contact avec sa peau. Hélas, elle se trouve ridicule en robe et trouve réellement plus pratique le port de tuniques. Sa crinière de feu est le plus souvent attachée à l’aide d’un ruban et rares sont ceux qui peuvent assurer l’avoir vu les cheveux au vent car ceux-ci la gênent effrontément.


Mental : Ysalia est calme, du moins en apparence. Si vous ne la cherchez pas, elle ne vous trouvera pas. Cependant, s’il advient que vous empiétez sur ses plates bandes ou touchez une corde sensible, elle n’hésitera pas à vous agresser verbalement. La violence ne résout rien selon elle mais s’il faut faire mal, elle sait exactement quoi dire ou faire. A côté de cela, la jeune femme peut être aussi attachante qu’un ours en peluche lorsqu’elle daigne s’intéresser à votre cas. A vrai dire, la vie la passionnait, les gens, les différents horizons, tout ce qui fait un monde en somme. Aujourd’hui, elle ne veut plus s’attacher, elle préfère trouver sa place sans l’aide de personne et éviter de souffrir car oui, cela fait mal et la demoiselle n’est pas insensible hélas. Cela nous emmène à un autre point fort de sa personnalité, son indépendance. Elle ne dépend plus de personne et se débrouille toute seule, à l’image d’une grande. Sa petite vie a bien changé. Elle ne se berne plus d’illusions mais sait comment réagir. Elle a appris à ne plus faire cas du quotidien mais sous cette apparence frivole et désinvolte se cache quelqu’un qui œuvre encore pour la cause qu’elle soutenait avant. Il lui arrive de demander argent contre ses soins mais le plus souvent, c’est son grand cœur qui l’emporte. La demoiselle est loyale, elle ne fait jamais faux bond à quelqu’un à qui elle aurait prêté allégeance. Si elle se détourne beaucoup des autres, elle ne peut s’en défaire totalement. En effet, elle pourra vous rendre service, parfois sans raison. Pourtant, d’une fine intelligence, elle se révèle une alliée de choix autant pour prendre des décisions que pour vous épauler. Si vous doutez, hésitez ou même vous remettez en question, elle saura trouver les mots justes, habiles avec ceux-ci pour vous raisonner ou rassurer. Hélas, elle ne manie ses talents que rarement et préfère laisser les gens se débrouiller comme elle l’a fait. Fière, elle se vexe rapidement quand on l’accuse à tort ou la taquine et si elle ne se plaint jamais, une rareté dans ce bas monde, elle peut paraître superficielle de prime abord. Joueuse, elle apprécie les cartes et sait aisément comme manipuler autrui, cependant, elle ne se fourvoie pas dans ce genre de familiarité s’il n’y a pas quelque chose d’intéressant à la clef. Malgré tout cela, c’est une personne entière qui ne porte aucun jugement sur les autres, elle préfère laisser le bénéfice du doute. Il n’y a ni bien ni mal pour elle juste ceux qui savent saisir leur chance. Chaque être est particulier et si régler les conflits par la violence l’insupporte, s’il faut en passer par là pour cause de grands méfaits, elle n’est pas contre. C’est quelqu’un d’humain qui comprend la souffrance et le malheur mais qui préfère rester impassible pour ne pas craquer. Sa famille lui manque mais elle ne l’avouera pas. Ses avantages, sa complicité avec ses frères, avoir un repas tous les soirs également, mais elle ne troquerait guère sa nouvelle nationalité contre son ancien régime…Les dictatures ? Très peu pour elle. Attentive, elle sait lorsque quelque chose ne va pas. Conciliante, elle sait faire la part des choses et n’est que rarement rancunière, même pas envers les siens juste envers Alacius qui l’a abandonné en lui cachant ses maux


Un peu plus sur vous... On ne m'appelle pas et on ne me trouve pas !! Non plus sérieusement, mon prénom est classé secret défense, j'ai actuellement une vingtaine d'années. Humm, quoi d'autre ? Dans une autre vie, j'aurai sûrement sauvé le monde si je n'étais pas une paresseuse à aimer dodoter la nuit. Je fais des supers études de la mort qui tue en biologie pour devenir professeur des écoles, je suis fâchée avec le Nutella. Ah j'ai dégôté le super job qui me prend beaucoup de temps pendant les vacances mais j'ai quand même eu un coup de coeur donc je tenais à m'inscrire quand même. Du coup, ne tenez pas compte de mes absences de quelques jours parfois car quand reviendront les cours ce sera mes vacances xD.

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MessageSujet: Re: [Validée] Ysalia Telvien   [Validée] Ysalia Telvien I_icon_minitimeMer 3 Aoû - 15:51

Belle histoire Smile
Je ne m'y attendais pas à vrai dire - qu'elle sache réellement soigner les gens. Je pensais plutôt "barbier" du moyen-âge.

Validée, avec 5 points bonus et 40 Atris. Par contre, vu que tu as quitté ta famille, tu ne touchera que le salaire de Médecin/rebouteux qui est de 10 Atris par semaine RP.
L'étape suivante est l'équipement, après quoi tu pourras commencer tes RPs Smile

Si tu n'as pas trop d'idées ou que tu veux avoir quelques Atris rapidement, je te conseille les Quêtes, qui sont toujours sympathiques.

Si tu as des questions, n'hésite pas Wink
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